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Institutions sportives

VANESSA KHALFA

Interview de Vanessa Khalfa – Ligue féminine de Handball

Handball, Institutions sportives, Interviews, Stratégie marketing

Pour ce septième épisode de Kinic Sport, le podcast, nous recevons Vanessa Khalfa, responsable de la Ligue Féminine de Handball (LFH). La Ligue féminine de handball trouve sa genèse dans la création de l’Union des présidents de clubs de D1F en 2005 et voit officiellement le jour en 2008, dans la continuité de l’élan donné par l’organisation du championnat du monde féminin en France en décembre 2007.

Découvrez l’interview de Vanessa Khalfa

KINIC SPORT : Bonjour Vanessa KHALFA.

VANESSA KHALFA : Bonjour.

KINIC SPORT : Alors déjà, est-ce que vous pouvez vous présenter personnellement en quelques mots ? Quel a été votre parcours professionnel pour arriver jusqu’à la place que vous avez maintenant, c’est-à-dire, à la tête de la Ligue Féminine de Handball ?

VANESSA KHALFA : Et bien, je suis Vanessa KHALFA, j’ai 38 ans. Et alors, me présenter en quelques mots, je suis une grande passionnée de la vie d’une manière générale et bien évidemment aussi de tout ce qui va concerner le développement, la com’, le marketing du sport professionnel on va dire, et puis un petit peu plus particulièrement du handball qui m’a accompagné depuis maintenant 16 ans, puisqu’en fait, j’ai démarré ma carrière professionnelle à 23 ans, à ce que l’on appelait à l‘époque OC Cesson Handball et qui aujourd’hui est Cesson Rennes Métropole Handball, dans lequel j’ai été responsable de la com’ pendant 5 ans, la communication avec un grand mot. Quand je dis un grand mot, c’est avec un grand C. communication, marketing, évènementiel, partenariats etc. Et ensuite, j’ai migré au Tremblay Handball pendant 10 ans dans lequel, j’étais à la fois directrice développement de la marque YABA…Voilà, j’ai fait 15 ans dans le handball masculin et très porté sur le développement, la com’, le market’, l’évènementiel avant de débouler à la fédération française de handball en Aout dernier pour avoir, du coup, un poste de direction sur lequel en fait, du coup, on met en place toute la stratégie à tous les niveaux sportifs, évènementiels, images, tout ce qu’on pourra détailler plus tard, de la Ligue féminine de Handball, qui comprend aujourd’hui un championnat, qui est le championnat LBE et 14 clubs professionnels, voilà.

KINIC SPORT : Alors justement, présentez-nous un petit peu votre structure ? Quelle est sa fonction, donc la LFH, la Ligue féminine de handball ?

VANESSA KHALFA : La première chose qu’il faut savoir pour la LFH, c’est qu’aujourd’hui, on est une structure qui est une structure encore fédérale et il y a deux modèles pour les ligues professionnelles. Il y a la ligue professionnelle autonome indépendante comme peuvent être la ligue professionnelle de basket, foot, rugby… toutes les ligues masculines de manière générale et dans les ligues féminines on a deux modèles. On a le modèle du volley qui est rattaché à la ligue masculine, et puis, il y a le modèle du foot, du rugby, du handball, qui est rattaché encore à la fédération, donc nous on est encore rattaché à la fédération. Donc, en fait, on n’est pas indépendant, mais on a une grosse autonomie au sein de la fédération française de handball alors qu’est-ce que c’est que la mission de la ligue féminine de handball ? Et bien, c’est d’abord, premièrement, d’organiser son activité principale qui est donc son championnat LBE et comme dans un club autour de ça, il y a toute la résonnance du marketing, de la communication, de l’évènementiel, de la digitalisation etc. donc voilà, il y a tout ce relais-là. Il y a le relais politique aussi évidemment, lié à une fédération et à une institution. Donc voilà, c’est un peu comme dans un club, sauf qu’on gère finalement 14 clubs, voilà. 

KINIC SPORT : Donc, vous l’avez dit, vous avez un statut un petit peu particulier. Il y a vous et le basket où vous avez des ligues séparées alors qu’effectivement le volley par exemple, la Ligue A féminine, est rattachée avec les garçons on va dire, c’est regroupé…

VANESSA KHALFA : Oui, alors, il n’y a pas que nous. Si vous voulez, le modèle principal en féminin est rattaché à la fédération. Donc le foot est rattaché à la fédération, le rugby est rattaché à la fédération, le water-polo aussi, le basket, le handball. Finalement, le volley, oui, est rattaché aux garçons. Donc, c’est vraiment une ligue qui ne dépend pas de sa fédération, en tout cas, qui n’est pas intrinsèquement fédérale. Et alors, il y a des sports qui souhaitent leur émancipation, et puis, il y a des sports qui resteront toujours fédéral. Ça été très clairement dit par la fédération française de rugby, la fédération française de foot, le football féminin restera fédéral, le rugby féminin restera fédéral, le basket restera fédéral. Le handball, en tout cas, a voté la volonté de s’émanciper, de devenir autonome puis indépendant, pas avant 2024 en tout cas, mais on travaille pour, c’est une volonté. Est-ce que l’on va y arriver ? On espère, mais voilà, pour l’instant en tout cas, on est fédéral jusqu’en 2024, ce qui n’empêche pas de poser les premières pierres petit à petit d’une indépendance et d’une autonomie dans certains domaines et dans certains secteurs, voilà l’activité.    

KINIC SPORT : Et justement, est-ce que c’est un avantage d’être autonome ? Je parle surtout au niveau de la communication, de votre site internet, etc. 

VANESSA KHALFA : C’est clairement séparé parce qu’il faut savoir qu’une fédération n’a pas forcément vocation à mettre en avant ou à s’occuper ou à travailler sur le sport professionnel en club. Parce que les fédérations ont toutes le volet amateur, et également toutes, le volet des équipes de France, des équipes nationales. Donc du coup, ils ont parfois en plus ce volet club. Donc effectivement, nous, on est tous, les fédérations en tout cas, on a tous ce volet féminin. Certains ont, comme je vous l’ai expliqué, le côté professionnel d’une division, d’autres ne l’ont pas. Certains ont des divisions semi-professionnelles, par exemple sur le rugby et le football. Malgré ce qu’on pourrait penser sur le football féminin qui est quand même très développé, ça reste qu’ils ont un statut de semi-professionnel contrairement au handball et au basket où on est vraiment sur un statut de professionnel. Oui, ça a forcément ses avantages d’être autonome. Ça a forcément ses inconvénients. Ça l’est aussi d’être, comment dirais-je, allié toujours à sa fédération puisqu’on a les soutiens financier, structurel etc. de la fédération sans qui on ne pourrait pas concrètement exister. Donc, oui, on est un peu autonome quand même puisqu’on a notre propre budget de fonctionnement, nos propres règles, nos propres décisions, nos propres structures, nos propres instances, donc comme vous dites aussi notre propre réseau, notre propre digitalisation. Mais on reste quand même dirigé et gouverné aussi par du fédéral, et aussi par des clubs. C’est un modèle un peu hybride qui est parfois difficile à comprendre. Voilà, on est sur une semi autonomie. Mais en tout cas, c’est un modèle qui vit bien pour l’instant. 

KINIC SPORT : Alors, comment se porte globalement le handball féminin en France en club ? Il y a également l’équipe de France féminine qui est plutôt performante.

VANESSA KHALFA : Alors plutôt, c’est un petit mot. Alors, je peux dire quelques mots sur notre équipe de France récemment qui est le fleuron et le porte-drapeau de, bien évidemment, cette fédération. L’équipe de France va très bien. L’équipe de France est performante depuis toutes ces années. Cette équipe de France, alors quand je parle de l’équipe de France, je parle évidemment de toutes les équipes de France, de l’équipe de France A qui s’était brillamment qualifiée pour les JO sans passer par le PQO même s’il n’y a rien de honteux. Je félicite également les garçons qui sont au PQO. On a encore la chance d’avoir nos deux équipes de France qui seront au PQO… au JO pardon. Les équipes de France vont bien, les -16, -20 jusqu’à l’équipe de France A. on est vice-championne d’Europe là. On a été championne d’Europe en 2018 donc, non, on va très bien. La formation française va très bien, les centres de formation vont très bien, et puis on a aussi beaucoup de chance d’avoir beaucoup d’internationales sur le sol français et sur notre championnat LBE, ce qui prouve qu’on est bien aussi dans ce championnat LBE. Donc le championnat LBE, qui est le championnat de première division, se porte sportivement très bien, et est le premier ou le deuxième championnat le plus fort du monde, et avec 14 clubs aujourd’hui qui sont 14 clubs de qualité. Maintenant, il ne faut pas négliger qu’on est en mode covid, donc comment va la ligue et comment va son championnat ? Comme forcément tous clubs et tous les sports professionnels en ce moment. On souffre, on souffre bien évidemment du manque de public dans les salles mais pas uniquement, pour venir nous supporter. Il y a également un aspect vraiment économique, on souffre avec nos partenaires, même si, on a effectivement la chance incroyable de pouvoir exercer notre métier, de pouvoir continuer, qu’il n’y ait pas eu de coupure et que finalement on a réussi à ne pas trop avoir de problématiques liées au covid. Même si beaucoup de filles, beaucoup de joueuses, beaucoup de staffs l’ont eu, on n’a pas eu de séquelles et on a pu continuer le championnat. Donc, c’est une grosse satisfaction. Donc, on va dire qu’on a des gros hauts et des gros bas, et puis surtout, on a des grosses incertitudes comme tout le monde un petit peu. Je pense à cette crise sanitaire mondiale, on a des incertitudes sur l’avenir et sur ses conséquences économiques, voilà.

KINIC SPORT : Alors, j’imagine que cette dynamique hors covid évidemment, on espère que ça va s’arrêter et le plus rapidement possible surtout, mais hormis cet aléa qui n’épargne personne, j’imagine que ça attire quand même les partenaires, une équipe de France qui est performante, un championnat qui a un intérêt, j’imagine que ça attire pour vous des partenaires ? 

VANESSA KHALFA : Alors, il faut préciser que le covid a mis un coup d’accélérateur sur de nouvelles manières de communiquer, de nouvelles manières aussi, de se poser, de réfléchir sur notre sport, sur notre économie, sur notre modèle économique, sur notre environnement. Voilà, et on est aujourd’hui un peu tous dans l’écocitoyenneté, dans le plus proche, dans le plus vrai, dans les circuits courts, mais voilà, c’est également aussi dans le sport professionnel, donc c’est bien. Oui, ça n’attire, effectivement pas encore assez, parce qu’on reste un sport, non pas du tout mineur, mais on reste un sport, une petite niche encore, donc il faut qu’on aille travailler, il faut qu’on continue et il faut qu’on soit encore plus reconnu. On reste effectivement du féminin, donc effectivement, on a encore beaucoup de barrières à soulever, mais on est là pour ça, et on ne va pas s’arrêter là. 

KINIC SPORT : Est-ce que vous avez vos propres partenaires et quelles relations entretenez-vous avec eux ?

VANESSA KHALFA : Alors oui, on a nos propres partenaires. On entretient des relations très très bonnes avec eux. On est sur de la confiance, parce que la plupart des partenaires qui nous suivent, nous suivent sur des cycles de 4 ans, donc du coup, c’est grand et c’est engageant pour des sociétés, de s’associer à la ligue féminine de handball pendant 4 ans. On a des relations au quotidien parce qu’en fait, on a beaucoup d’actions que l’on a en place avec eux, des retours, on les accompagne, ils nous accompagnent donc, c’est une vraie main dans la main. Ils souffrent avec nous des résultats parfois. Ils ont la chair de poule comme nous quand on regarde un match, voilà. C’est vraiment une relation qui est très privilégiée avec nos partenaires et on les remercie. Et voilà, c’est un vrai engagement aussi de s’associer à un sport féminin, à un sport professionnel féminin. Et puis voilà, au handball, on partage les mêmes valeurs, le même quotidien, on travaille ensemble main dans la main et on forme une belle équipe sans tomber dans le mielleux ou bien les non-dits. On a de la chance de les avoir. Je pense qu’ils ont aussi de la chance de nous avoir parce qu’on est dynamique et qu’on a des clubs formidables. Donc en fait, c’est une très belle association, voilà.

KINIC SPORT : Donc, vous disiez, on est un sport féminin, parce que c’est plus compliqué pour un sport féminin, et, est-ce que vous vous comparez avec les garçons quand vous dites ça ou… ?

VANESSA KHALFA : Alors moi, j’ai d’autant plus de facilités à vous en parler, parce que j’ai vécu 15 ans enfermée dans un sport masculin, donc effectivement avec très peu d’écosystème féminin, puisque déjà quand on est en club, on a une vision qui est club et on se concentre effectivement sur…on a déjà de la concurrence entre les clubs de handball, entre les autres sociétés masculines, et donc effectivement, il faut garder de très très loin tout le cinéma. Mais ce n’est effectivement pas facile. Mais je crois que c’est le reflet de la société. Alors, je ne fais pas du tout du libéralisme, ce n’est pas du tout mon genre, mais aujourd’hui, être une femme, c’est compliqué aussi dans la société, enfin une femme qui réussit, c’est peut-être plus dur qu’un homme. Et en tout cas s’intéresser au sport féminin, c’est plus compliqué. Pourquoi ? Parce que, peut-être que dans la tête des gens ou dans cette culture que l’on a depuis le début, déjà en France, on n’a pas une culture sportive. Quand je dis culture sportive, je ne parle pas des gens qui vont faire du sport ou qui ont une pratique régulière du sport. Je parle du supporter, c’est-à-dire de supporter son équipe, je parle en club, je ne parle pas en sélection puisqu’on a un esprit très chauvin, c’est très bien. On devient français et encore plus quand on supporte nos équipes lors de compétitions internationales et sur tout d’ailleurs. On peut ne pas aimer le basket, mais on va supporter l’équipe de France de basket, etc. mais déjà, à la base, le français n’est pas trop dans la culture d’avoir un club, de supporter un club en particulier. Donc, lorsque vous rajoutez une culture quand même, et un apprentissage du plus jeune âge que le sport, c’est se castagner, c’est très masculin…Voilà, les filles, c’est bien qu’elles fassent de la gym et de la danse et que quand elles commencent à faire du basket, du hand, du rugby, ce ne sont que des garçons manqués. Donc voilà, il y a aussi beaucoup de clichés à changer et une mentalité aussi à changer dès le démarrage et dès le, plus jeune âge. Il faut faire comprendre et on travaille beaucoup sur la féminisation, on a totalement notre place dans l’environnement et une sportive, elle a toute sa place dans un sport qui pourrait être ou pensé comme un sport masculin. Le handball masculin est fait pour les garçons. Le handball féminin est fait pour les filles. Est-ce que c’est le même sport ? je ne sais pas. En tout cas, c’est la même discipline. Mais il n’y a pas à être en opposition. Donc est-ce qu’on se compare aux garçons ?  Je crois qu’il ne faut pas se comparer aux garçons, il faut se comparer avec soi-même déjà, et puis, c’est déjà pas mal de se comparer avec soi-même et des évolutions qu’on a semaine après semaine, et mois après mois, et puis il ne faut surtout pas aller chercher. On ne vient pas chercher dans le féminin ce qu’on retrouve dans le masculin. Si on vient chercher la même intensité physique dans un match féminin comme dans un match de masculins, on va être très déçu. Et on ne vient pas chercher peut-être la même tactique dans un match féminin que dans un match masculin, on n’aura pas la même technique. Beaucoup disent d’ailleurs que le handball féminin, les vrais amateurs de handball purs et durs n’arrêtent pas de me dire que le handball féminin, c’est mieux, donc je ne sais pas. Mais en tout cas, nous ne nous voyons pas en opposition. Voilà, parce qu’on ne vient pas chercher la même chose. Et c’est pareil, et je le dis toujours, on ne vient pas chercher la même intensité dans un match de professionnels que lorsque l’on fait son propre match. Si l’on joue 5, 10, 7, 8 divisions en dessous. Je veux dire le match de foot qu’on joue le dimanche matin entre copains, même si on est dans un club, et qu’on vient regarder ses copines, ses copains jouer un match de foot le dimanche matin de district, on ne vient pas chercher la même chose que lorsqu’on va voir un PSG-Rennes quoi. Et donc, c’est la même chose dans le handball en fait, et dans le handball masculin et dans le handball masculin. Les deux peuvent cohabiter et heureusement qu’ils cohabitent.

KINIC SPORT : D’accord. Merci pour cette réponse. La FDJ est un de vos partenaires officiels et a renouvelé en début d’année. Comment se passe ce partenariat et comment vous activez des partenariats, avec ce partenaire par exemple ?

VANESSA KHALFA : Alors, FDJ nous accompagne depuis un paquet d’années déjà, sur la Ligue Féminine de Handball et a re-signé avec les équipes de France et avec la Ligue Féminine de Handball alors, on a de la visibilité que l’on a dans chaque club, de la visibilité de terrain et également de la visibilité RP. Et puis, on a des activations avec FDJ. Je ne peux pas vous en parler plus parce que c’est encore secret sur ce qu’on va lancer très prochainement, d’ici un bon mois voilà, vous en serez un petit peu plus.

KINIC SPORT : Un petit teasing ?

VANESSA KHALFA : Il faudra aller voter, mais voilà, on va lancer quelque chose de nouveau cette année et pour les trois prochaines saisons jusqu’en 2024, et on est très fier que FDJ continue de nous faire confiance, notamment dans cette période aussi compliquée pour les entreprises. Mais ils ne nous ont pas lâché, donc c’est plutôt sympa et puis en termes de digitalisation, ils sont sur toutes les statistiques par journée. On essaie de mettre en avant la statistique de la rencontre, donc la joueuse qui aura fait la perf’ de la journée et vous verrez sur Instagram, Facebook ou Twitter, que le logo FDJ est sur l’un de nos visuels puisqu’ils nous sponsorisent. Ça prouve aussi que les marques aujourd’hui viennent chercher chez nous de la digitalisation. On est très fier d’être la première ligue féminine digitale, c’est une fierté d’exposer tout depuis quelques temps. On a des études que l’on mène et chaque mois, on progresse encore plus. Et donc, ce n’est pas que la ligue bien évidemment, ce sont 14 clubs qui sont de plus en plus performants sur les réseaux sociaux et on voit les marques qui commencent à se dire de plus en plus, c’est bankable d’y aller, donc allons-y. C’est une nouvelle manière de communiquer, de fonctionner donc on est très confiant là-dessus, sur l’avenir en fait. 

KINIC SPORT : C’est intéressant ce que vous dites, vous analysez quand même les retours, que ce soit en audience etc. ça, vous le faites ?

VANESSA KHALFA : Oui on analyse tout.

KINIC SPORT : Oui, vous analysez du coup, c’est un travail avec vos différents partenaires ? 

VANESSA KHALFA : Voilà, on a déjà une agence avec laquelle on travaille qui nous fait deux études par an. Et puis, on a aussi nos propres analyses que l’on fait toutes les semaines, tous les mois. Alors, on analyse tous les clubs, les clubs analysent aussi. Alors, en ce moment, puisqu’on a sorti des web diffusions, mais c’est aussi la première ligue à autoriser et à accompagner ses clubs dans la web diffusion, c’est-à-dire d’être eux-mêmes producteurs de leurs propres matchs puisqu’avec l’arrêt du public dans les salles, il fallait garder un lien et donc du coup, ça nous a fait passer un cap aussi. Donc oui, on analyse effectivement. Nous sommes des compétiteurs. Bon, la ligue l’était avant mon arrivée, mais moi je suis une énorme compétitrice et je veux qu’on soit les meilleurs dans beaucoup de domaines et en tout cas sur le domaine de la digitalisation, on est les meilleurs mais pour être les meilleurs il faut aussi savoir se mesurer. Donc, on fait un gros travail avec notre attaché de presse, notre Community manager journaliste, notre groupe marketing, pour pouvoir regarder où est-ce qu’on en est. Alors, on compare aussi aux autres, aux autres ligues, aux autres sports féminins, d’autres sports masculins, et puis, on regarde où on est, et on regarde où on doit aller, et puis voilà, c’est comme ça. Finalement, la performance est à tous les niveaux. Voilà, nous, on se doit d’être performant médicalement, on se doit d’être performant juridiquement parlant, on se doit d’être performant dans le marketing, dans la com’, dans le truc, bah on se doit aussi ça. Les clubs doivent être performants sur le terrain et en dehors. Aujourd’hui, la presta en dehors compte autant que la presta sûre, c’est-à-dire, comment on va vendre ce qu’on a sur le terrain finalement, les joueuses qu’on a sur le terrain, et puis les résultats. Nous aussi, on doit l’être. Et puis, on a une fière demande de ces clubs donc on est la vitrine de ces 14 clubs. Donc on travaille énormément avec les clubs et ce sont en tout cas des chiffres qu’on analyse tous les mois. Et puis, on est en train de changer complètement aussi notre ligne éditoriale, c’est-à-dire, qu’il ne faut pas croire que les choses sont faites au hasard. C’est ça qui est bien, il y a une stratégie derrière. Ce que les gens ont du mal à comprendre dans nos métiers…alors moi je remercie la fédération d’avoir choisi un profil comme le mien pour diriger la ligue parce que c’est un profil très com’ market’ et c’est une première pour une ligue féminine, et je crois une ligue tout cours. Souvent, on met à la tête du juriste ou bien voilà. Là, on a choisi clairement, typiquement quelqu’un dans le développement, parce qu’on avait besoin de ça. Puis, on pouvait aussi s’appuyer bien évidemment sur les structures fédérales que l’on a, le service juridique, d’autres services comme la commission d’organisation des compétitions, d’arbitrage etc. On a aussi des syndicats avec qui on travaille énormément et très bien, l’AJPH qui est le syndicat des joueuses, le 7Master qui est le syndicat des entraineuses et entraineurs, et l’UCPF, qui est le syndicat des présidents des clubs avec lesquelles on travaille et on développe aussi. On n’est pas tout seuls. On travaille en collaboration avec l’ensemble de l’écosystème, et avec les actrices et les acteurs de notre écosystème. Et puis, aussi, avec nos partenaires. Voilà, en fait, on est une grande famille et on essaie d’être performant le plus possible et surtout de s’analyser. Mais ça, c’est certainement le défaut du sportif professionnel et de la sportive professionnelle, c’est qu’on se remet tout le temps en question, chaque match on se remet en question, chaque entrainement, donc nous, chaque journée, on se remet aussi en question. Et puis, on se remet en balance. Celle qui aura la meilleure stat, et celle qui aura le meilleur visuel, la meilleure audience sur Instagram. Voilà, on se mesure comme ça. Je plaisante en disant ça, mais aujourd’hui il ne faut pas négliger. Pour les non professionnels, les réseaux sociaux, la digitalisation, tous ces trucs-là, c’est un peu mumuse. Et bien non, à haut niveau, on ne fait pas mumuse. Chaque tweet, il y a une stratégie. Voilà, donc chaque manière dont on écrit, qu’on court, etc., donc c’est bien que vous me donniez la parole pour pouvoir m’expliquer, on est des supers compétitrices. 

KINIC SPORT : Vous l’avez dit, vous avez créé LFH TV, du coup, la médiatisation…

VANESSA KHALFA : Alors, on n’a pas créé la LFH TV. Ça, c’est la LND qui a créé sa propre chaine et la LNH. Nous, on ne l’a pas créée et on ne va pas la créer comme ça, je mets fin au suspense. On ne créera pas la LFH TV. Par contre, en mode covid, on a permis…si vous voulez les droits marketing sont à partir de la fédération française de handball qui les transfère à la LFH tout comme les droits TV. Donc, quand on parle de droits TV, on parle d’une exploitation gratuite ou commerciale de la diffusion possible des matchs. Donc nous, on a un diffuseur officiel qui est Sport en France. Donc, on est coproducteur avec eux et les images nous appartiennent. Donc, on travaille avec eux sur un match par journée que l’on choisit et les 6 autres matchs, chaque club, en fait, peut créer son propre match et être diffuseur de son match avec ses émissions etc. donc voilà. Au départ, on avait un vaste laboratoire et aujourd’hui on est très fier de la production qu’ils font avec les moyens qu’ils font et avec la structuration qu’il faut. Voilà, dans un contexte covid, on peut les féliciter. Et donc, aujourd’hui, certains diront que c’est un peu puni, d’autres diront que c’est un peu chauvin, mais en tout cas, chaque club a la possibilité de le mettre où il souhaite. Certains ont choisi YouTube, d’autres Facebook, d’autres Twitch, mais on ne les a pas regroupés sur une OTT par exemple qui pourrait être LFH TV comme le fait la LNH ou la LFP. D’ailleurs, on n’en est pas encore là.

KINIC SPORT : D’accord, la médiatisation néanmoins, c’est quand même quelque chose d’important ?

VANESSA KHALFA : C’est fondamental. C’est-à-dire qu’on entend par médiatisation, les diffusions, que ce soit télé ou des diffusions, et bien évidemment, la médiatisation avec la presse, internet, les réseaux sociaux. Alors attention, je ne sais pas s’il y a des personnes qui arrivent et qui ne connaissent pas forcément. Quand on parle d’internet, on ne parle pas forcément de réseaux sociaux. Les réseaux sociaux, c’est vraiment typiquement sur les réseaux sociaux, Facebook, Instagram, Twitter, Snapchat par exemple, même si on n’utilise pas Snapchat. Après, on va parler d’internet qui peut être des sites internet, l’équipe.fr par exemple qui est différent de L’Equipe papier. Voilà, Ouestfrance.fr ce n’est pas le même que Ouest France le journal, voilà. Donc, on a ces trois canaux là. Donc, internet, les réseaux sociaux et la presse, et aussi, on a bien évidemment les diffusions télé, et puis tout ce qui va être aussi, les reportages télé, voilà, donc bien évidemment, plus on en aura, et plus on pourra espérer effectivement être connu, donc accroitre notre fan base, accroitre notre territoire de marque, avoir des marques qui s’intéressent à nous, avoir plus d’argent, avoir plus de développement etc. Le nerf de la guerre, c’est l’argent et le nerf de la guerre, c’est le retour sur investissement via cette médiatisation. Bien évidemment, c’est un sujet énorme, voilà, et on n’en est qu’au début.

KINIC SPORT : Parfait ! En tout cas, merci Vanessa KHALFA d’avoir accepté de répondre à nos questions.

VANESSA KHALFA : Avec grand plaisir. 

KINIC SPORT : Et puis, et bien, écoutez, bonne continuation dans le développement qui, à priori, est plutôt bien parti de la Ligue Féminine de Handball, merci.

VANESSA KHALFA : Merci à vous.

Retrouvez le podcast de l’interview dès maintenant


 

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le Grand Espace des Licenciés

Découvrez le Grand Espace des Licenciés, de la ligue AURA de handball

Handball, Institutions sportives, Ligue d'Auvergne de Handball

Les licenciés et structures de handball du territoire d’Auvergne Rhône Alpes disposent désormais d’un espace qui leur est dédié. Dénommé “Le Grand Espace des Licenciés”. Cet espace entièrement numérique est une initiative de La Ligue Auvergne Rhône Alpes Handball. L’objectif est de faire profiter les licenciés de la ligue AURA handball des offres promotionnelles de ses nombreux partenaires.

La Ligue Auvergne Rhône Alpes Handball

La Ligue Auvergne Rhône Alpes Handball, association loi 1901, a pour objet l’organisation de la pratique du handball pour les clubs présents sur le territoire de la région Auvergne-Rhône-Alpes. En lien avec ses onze Comités Départementaux, la ligue s’occupe également de la formation et de l’éducation des différents acteurs liés à l’activité du handball (athlètes, entraîneurs, arbitres, dirigeants…). 

Par ailleurs, la Ligue Auvergne Rhône Alpes Handball compte à ce jour, plus de 40.000 licenciés. Elle dispose également d’un site web où il est possible de retrouver toutes les informations liées aux compétitions de la ligue, mais également aux équipes, aux commissions, aux services proposés aux clubs et bien plus encore. Son siège social est situé 430 rue Aristide Bergès de Montbonnot.

Le Grand Espace des Licenciés, le nouvel espace de la ligue AURA handball

Le Grand Espace des Licenciés est réservé aux licenciés et structures liés au handball du territoire Auvergne-Rhône-Alpes. Pour les licenciés et affiliés de la ligue AURA handball, cet espace digital donne accès aux offres promotionnelles proposées par les partenaires de la Ligue. En parlant de partenaires, plusieurs marques accompagnent la Ligue dans ses activités. C’est le cas de Kinic, l’agence de communication qui propose aux licenciés de la ligue AURA handball, des remises sur diverses prestations de communication (site internet, teaser vidéo…). L’agence a également réalisé la vidéo de présentation du “Grand Espace des Licenciés”.

Sur la plateforme, il suffit de cliquer sur la rubrique “Découvrez les offres de nos partenaires”, pour consulter le descriptif des offres ainsi que les modalités pour passer une commande auprès de plusieurs entreprises qui pratiquent des tarifs attractifs. Plus d’une douzaine de marques vous y attendent avec une grande variété de produits et de services. Par ailleurs, à la rubrique “Profitez de nos bons plans”, des acteurs qui œuvrent pour faciliter le quotidien des structures sportives sont présentés et proposent des plans qui vous seront particulièrement utiles. La troisième rubrique “Venez supporter nos clubs de D1 & D2” prendra effet très prochainement. Dès la reprise des compétitions, cette rubrique permettra aux licenciés de la ligue AURA de réserver des places pour assister et soutenir les clubs de haut niveau.

Une alternative, qui est la bienvenue, en ces temps de crise sanitaire. Accédez dès maintenant à cet espace en cliquant ici.


 

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Sport et Marketing

Sport et Marketing sont indissociables

Gestion de club, Image d'athlète, Institutions sportives, Stratégie marketing

Le sport est de nos jours l’une des dernières activités capables de rassembler les foules sans aucune distinction de couleur, de religion ou d’origine. 

Le sport en tant que tel est bénéfique pour la santé, le bien-être, il est aussi un vecteur important de consommation. On peut facilement comparer le domaine sportif à une industrie. De nos jours le sport génère des milliards d’euros de bénéfices dans le monde. Cette manne financière est non seulement due aux performances de plus en plus impressionnantes des sportifs de haut niveau mais aussi de campagnes de marketing savamment orchestrées.

Les sociétés publicitaires ont sû adapter les méthodes classiques de marketing au domaine du sport. Elles ont un rôle déterminant dans la transmission auprès du grand public des valeurs sportives, de rendre les disciplines intéressantes et désirables.

Sport et Marketing marchent désormais main dans la main, il devient impossible de dissocier l’un de l’autre.

Il est intéressant de comprendre pourquoi et comment le sport s’est marchandisé.  

Changement sociétal

L’engouement du public pour le sport n’a pas cessé de croître au fil des années. La mécanisation, la réduction du temps de travail, laisse au gens plus de temps pour pratiquer une activité sportive et s’y intéresser, d’ailleurs étymologiquement parlant le mot anglais « sport » signifie « divertissement ».

La vertu du sport est le fait qu’il puisse être pratiqué seul, avec des amis, dans des associations, à des niveaux d’amateurs, semi-professionnels ou professionnels. Pratiqué par les enfants il participe grandement à leur épanouissement surtout lorsqu’il est pratiqué en équipe. Les adultes font du sport pour évacuer le stress, se maintenir en forme. Les personnes âgées gardent leur souplesse et reflexes en pratiquant régulièrement une activité sportive.

Tout le monde y trouve son compte d’où un énorme marché économique à investir.  

Le marketing sportif

Lorsque l’on parle de marketing sportif on fait référence à tous les outils et méthodes mis en place pour susciter un besoin afin de développer un produit ou un service qui réponde à ce besoin. 

Par produit sportif on entend l’ensemble des produits qui ont un lien avec le sport. Il peut s’agir de tout ce qui a rapport avec l’identité visuelle d’un club sportif (logo, maillots, chaussures), du déodorant qu’utilise un athlète avant l’effort ou du plaisir de parier sur le cyclisme en mettant en avant les valeurs de l’effort et du don de soi.

Le marketing sportif est donc présent dans de nombreux domaines économiques allant de du jeux vidéo à la mode en passant par l’hygiène corporelle, l’image du sportif a un véritable impact positif auprès du public, les agences de marketing l’ont bien compris.  

Les acteurs du marketing sportif

On distingue trois acteurs principaux qui ont recours au marketing sportif pour vendre ou proposer leurs services.

En premier on trouve les association sportives type ligues, fédérations ou clubs. Par exemple dans le football PSG, OL et OM sont de véritables marques qui fonctionnent comme des entreprises traditionnelles.

Ensuite viennent les équipementiers comme Nike, Adidas ou Puma qui utilisent l’image d’un sportif ou d’un club au travers du sponsoring pour vendre leurs produits.

Enfin viennent les médias et autres services qui ont un rapport avec le sport. Parmi ceux-ci on trouve la presse sportive, la télévision ainsi que depuis plusieurs années les jeux vidéo et les sites de paris sportifs.

Ces trois grandes catégories ne travaillent pas sur des rails distincts, elles interagissent et sont complémentaires. Cependant pour que ce triangle fonctionne il faut que la compétition ou les performances soient de qualité afin que le public ait envie de s’identifier. Le marketing sportif a sans doute une influence non négligeable sur les spectateurs mais au bout d’un certain temps enjoliver un sport ou une équipe ne suffit pas à créer l’engouement. La performance reste donc l’élément central pour qu’une campagne de marketing sportif soit rentable.

 


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2019-2020

2019-2020, début d’une saison sportive pour l’agence KINIC

Foot, Handball, Ligue d'Auvergne de Handball, Sport boules, Stade Clermontois Sport Boules, Team Kinic, Volley-Ball, Volley-Ball Club Chamalières

Depuis maintenant plus d’une semaine, l’agence Kinic a effectué sa rentrée des classes. L’occasion de faire le point sur les nouveautés que cette saison 2019-2020 réserve.

Renouvellement de confiance

Plusieurs clubs sportifs renouvellent la confiance accordée depuis des années à l’agence de communication clermontoise. C’est le cas du Stade Clermontois Sport Boules qui signe à nouveau un partenariat avec l’agence KINIC pour la 4ème année consécutive. Après une merveilleuse année sportive, l’équipe première du président Julien Pradines se lance un nouveau défi après une montée en nationale 2.

En juillet dernier, l’agence KINIC et le Stade Clermontois Sport Boules ont également eu l’occasion de réitérer pour une seconde édition l’événement Speed Shooting qui a accueilli une nouvelle fois plus d’une vingtaine de jeunes participants.

Mais le Stade Clermontois Sport Boules n’est pas le seul club à continuer à faire confiance en l’agence KINIC. C’est aussi le cas pour le Volley-Ball Club de Chamalieres et cela pour la 5ème année consécutive. Malgré les mouvements au sein du club, l’agence KINIC signe un partenariat pour les 3 prochaines années soit jusqu’en 2023. L’occasion de mettre en place plusieurs projets et d’inscrire ses actions dans le domaine de la communication, sur la durée.

Enfin, depuis maintenant deux ans, le CDOS 63 travaille avec l’agence de communication sportive, et plusieurs projets verront le jour dans la seconde moitié de l’année 2019.

Un retour au ballon rond

Après une expérience de 2 ans au sein de l’AS Clermont Saint-Jacques, l’agence KINIC est de retour dans l’univers du football en signant un partenariat avec le club du FC Chamalieres. Après une belle saison sportive, le club s’est vu obtenir la montée en nationale 2. Nouveau défi, et surtout professionnalisation au niveau de la communication et du marketing oblige, Didier Chastang, président du FCC a fait appel à l’agence KINIC pour le seconder dans cette mission. Un audit complet de notre agence a eu lieu pour mobiliser les forces vives du club afin de bâtir un véritable plan de communication et de construire une démarche marketing solide, qui lui permettront de remplir ses objectifs pour cette nouvelle saison. De plus, spécialiste dans le partenariat sportif, l’agence sportive accompagnera le club de Chamalieres dans sa recherche de partenariats avec pour objectif, augmenter significativement le budget du club.

Mais le FC Chamalieres n’est pas le seul club de football à s’engager avec l’agence KINIC pour cette saison. En effet, le FC Riom a également fait appel à Allan KINIC et à son équipe pour une collaboration sur la saison 2019-2020. L’agence KINIC travaille actuellement sur une nouvelle version du site internet du club avec intégration d’une boutique en ligne qui permettra aux supporters de pouvoir commander tous les produits dérivés directement en ligne et en quelques clics. Le site verra le jour d’ici quelques jours.

Une plus forte implication dans le handball régional

Enfin, l’agence KINIC vient de signer un partenariat avec le Handball Club Cournon d’Auvergne. Mis en relation par l’intermédiaire de son partenaire de longue date, la ligue AUVERGNE Rhône-Alpes de handball, l’agence KINIC a été séduite par le projet et les ambitions d’un club porté par son Co président Cyrille Fauchet. C’est pour cette raison que cette première saison de collaboration devrait permettre d’augmenter la visibilité du club de Cournon évoluant en nationale 2, dont les ambitions sportives sont fortes.

Toujours dans le domaine du handball, l’agence KINIC mettra en place de nouveaux projets en lien avec la ligue AUVERGNE Rhône Alpes de handball pour cette seconde moitié de l’année 2019.

L’agence KINIC, confirme une nouvelle fois son implication et son ancrage dans le paysage sportif de la région Auvergne Rhône Alpes. Depuis maintenant 5 ans, elle s’engage dans le domaine du sport sur l’agglomération clermontoise afin de permettre aux différentes structures sportives d’obtenir une meilleure visibilité.

Vous souhaitez en savoir plus sur nos différents services ?
N’hésitez pas à prendre contact avec nous gratuitement dès maintenant.

 


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UNSS

Le foot se conjugue au féminin avec l’UNSS Auvergne

Foot, UNSS

Le Championnat de France UNSS Lycées filles de football s’est déroulé du 18 au 21 mars 2019, au centre Omnisports de Vichy. 3 jours de compétitions qui se sont achevés avec la victoire du lycée Jacques Feyder d’Epinay Sur Seine, de l’académie de Créteil.

Les filles à l’honneur pour donner des “Elles” au sport ! 

Le service régional UNSS de l’académie de Clermont-Ferrand s’est vu confié cette année, l’organisation du championnat de France Football Lycée Filles. Un évènement qui a permis de mettre en avant un sport féminin en pleine ascension sur la région Auvergne Rhône-Alpes, avec l’organisation prochaine de la Coupe du Monde Féminine 2019.

Cette manifestation était fidèle à l’état d’esprit que l’UNSS souhaite promouvoir depuis de nombreuses années, dans toutes ses actions : Respect des règles, Tolérance, Esprit d’équipe… autant de valeurs qui sont au cœur de son engagement. Pour couronner le tout, le championnat a pu compter sur la présence de deux marraines d’exception : Sonia Bompastor et Laura Georges (diffusion d’un message vidéo, voir ci-dessous).

Un événement riche en valeurs et en émotions.

En plein cœur de la France, pendant plus de trois jours, les lycéennes ont évolué dans un cadre unique pour les compétitions, aussi bien pour l’échauffement que pour la restauration ou l’hébergement. Des infrastructures et des compétences qui sont aujourd’hui largement reconnues.

De plus, cet événement avait pour but particulièrement de faire le focus sur l’arbitrage féminin, en partenariat avec la ligue Auvergne-Rhône- Alpes de football et des jeunes du Perf arbitrage.

En phase avec une époque préoccupée par les questions environnementales, l’UNSS Auvergne a voulu que cet évènement soit écoresponsable et porteur de valeurs éthiques soutenues par la jeunesse. Dans ce cadre, il a pu compter sur la présence de jeunes investis dans les différentes étapes d’organisation, et notamment sur ceux de l’IME Aquarelle et de la section football du lycée Albert Londres de Cusset, ainsi que des reporters formés et encadrés par l’agence Kinic, sensibles aux questions de l’arbitrage et du développement durable.

Pour que l’événement soit le plus marquant possible, le service régional a fait les choses en grand, en mettant en place, en aparté des épreuves, différentes animations : dégustation de produits locaux, Héritage 2024 (Équipe au nom des pays), marraine de haut niveau de l’Olympique Lyonnais, soirée 1/4 de finale Women’s Champions League OL vs Wolfsbourg.

Retour sur la compétition du championnat de France UNSS Lycées filles de football

Pour rappel, le championnat c’était plus de 300 personnes sur 3 jours :
16 équipes.
– 16 Jeunes Arbitres et 16 Jeunes Coaches UNSS des équipes.
– De Jeunes Arbitres Locaux (formation en lien avec la Ligue AURA de Football).
– 15 personnes à l’organisation + 2 membres de la Commission Mixte Nationale.
– Des étudiants du Perf Arbitrage au suivi des jeunes arbitres UNSS.
– 30 jeunes organisateurs et reporters issus principalement de l’IME Aquarelle et de la section football du Lycée Albert Londres de Cusset.

Classement complet 

1 – Lycée Jacques Feyder d’Épinay Sur Seine (Académie de Créteil)
2 – Lycée G. Maupassant – LP Descartes de Fécamp (Académie de Rouen)
3 – LPO Jean Jacques Henner d’Altkirch (Académie de Strasbourg)
4 – Lycée Pierre Bourdan de Guéret (Académie de Limoges)
5 – Lycée Marguerite de Navarre d’Alençon (Académie de Caen)
6 – LPO Romain Rolland de Goussainville (Académie de Versailles)
7 – LPO Xavier Marmier de Pontarlier (Académie de Besançon)
8 – Lycée Edme Bouchardon de Chaumont (Académie de Reims)
9 – Lycée Jean Moulin de Saint Amand Montrond (Académie d’Orléans-Tours)
10- Lycée Voillaume d’Aulnay-Sous-Bois (Académie de Créteil)
11 – Lycée Lavoisier de Mayenne (Académie de Nantes)
12 – Lycée Lyautey de Casablanca (International)
13 – Lycée Paul Painlevé d’Oyonnax (Académie de Lyon)
14 – Lycée Leonard de Vinci de Monistrol sur Loire (Académie de Clermont-Ferrand)
15 – Lycée Voltaire de Wingles (Académie de Lille)
16 – LPO Déodat de Séverac de Toulouse (Académie de Toulouse)

Revue de presse : 

La Montagne : https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/football/16-equipes-de-football-feminin-a-7-en-lice-a-vichy-pour-le-titre-national_13520680/

https://www.lamontagne.fr/gueret-23000/actualites/elles-se-sont-illustrees-aux-nationaux-unss-de-foot_13544064/

Sports Allier : https://sports-allier.fr/2019/03/19/le-championnat-de-france-de-football-feminin-unss-se-deroule-en-ce-moment-a-vichy/

La commère 43 : https://www.lacommere43.fr/monistrol-et-environs/item/21921-monistrol-sur-loire-le-lycee-leonard-de-vinci-14e-au-championnat-de-france-de-foot-feminin.html

Une nouvelle fois, l’agence Kinic a contribué au niveau communication, à un événement organisé par l’UNSS. Au service du sport et du football féminin, elle a apporté son savoir-faire en faisant appel à ses services de création graphique, de formation, de réalisation de vidéos et de live streaming, et de captation photo.

 


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formateur de jeune reporters

L’Agence Kinic, formateur de jeune reporters

Sports et médias, Team Kinic, UNSS

C’est la quatrième année consécutive que l’Agence Kinic entretient une collaboration avec l’UNSS Auvergne. Parmis les différentes prestation que l’agence de communication et de marketing sportif propose, la formation de jeune reporters devient depuis quelques années révélatrice de talents au sein de l’UNSS National. Etant à la fois passionné par notre métier, le partage et la transmission des savoirs sont des valeurs importantes au sein de notre agence.

De la formation pour petits et grands.

L’agence Kinic intervient à l’occasion de nombreuses dates de formation organisée par le CDOS du Puy de dôme. Des sessions allant d’une durée de 3H à 6H et à destination du milieu associatif. Nous traitons de sujets divers et variés en lien avec notre corps de métier.

Découvrez le programme de nos prochaines interventions: 

Jeudi 14 février 2019: « Dans une société où les médias sont omniprésents, savoir communiquer avec eux est primordial ».

Mardi 5 mars 2019: « Déterminer l’utilité des réseaux existants( Facebook, Twitter, Instragram, Linkedin) pour votre association et son actualité» .

Lundi 8 avril 2019: « Facebook est un site aux retombées importantes, et complètement ancré dans notre société » . [Réservé aux débutants]

Mercredi 25 septembre 2019: « Rechercher des partenaires n’est jamais une chose facile. Mais en préparant bien le terrain et en peaufinant son discours, il est possible de trouver des partenaires pour financer tout ou partie de son projet ».

Chaque formation est au prix de 20€ par personnes et est limitée à 12 participants. Si vous souhaitez vous inscrire et assister à l’une d’entre elles. Rendez-vous sur le site puydedome.franceolympique.compour plus de renseignements.

La transmission de savoir aux plus jeunes 

Très impliqué à faire découvrir les métiers de la communication, de l’audiovisuel et plus largement du monde digital, l’agence Kinic se rend à plusieurs reprises, les mercredis au sein de l’UNSS Auvergne pour former des jeunes volontaires au métier de jeunes reporters. C’est en petit groupe et dans une ambiance conviviale que nous échangeons avec des collégiens/lycéens. Ceci dans une optique d’appréhender leurs connaissances actuelles et développer chez eux de nouvelles compétences, nous stimulons leur créativité et leur écriture journalistique.

Amenés à devenir les reporters de leurs établissement, ces jeunes apprennent à utiliser avec intelligence les médias sociaux tels que Facebook, Twitter et Instagram. Leurs missions sont simple : relayés sur des comptes officiels créés exceptionnellement pour leurs formations des informations liées aux événements organisés par l’UNSS Auvergne.

À la fin de nos interventions, nos jeunes sont alors prêts à aller sur le terrain et donc deviennent de vrais petits reporters. Nous avons également pour mission, la charge de choisir un jeune reporter pour lui permettre de suivre un stage national de formation à Paris.

Cette année notre équipe à choisie Alexandra Gorgeon, une collégienne âgée de 15 ans issue de l’établissement Massillon de Clermont-Ferrand. Elle aura le privilège de se rendre à Paris du 06 février au 08 février 2019 pour suivre une formation enrichissante. Une aventure humaine et épanouissante attend Alexandra avec à la clef, un programme bien chargé. Notamment elle traitera des thématiques suivantes: Rédaction d’un article, Relations presse et médias, Photographie, Réseaux sociaux, Vidéos et Réalisation d’interviews.

C’est un réel plaisir pour notre équipe de former les jeunes de demain et surtout de leur permettre de vivre des expériences exceptionnelles. Notre équipe de reporters en herbes auront notamment pour mission de suivre en mars prochain les championnats de France UNSS de foot féminin qui auront lieu à Vichy.

 


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Cross-Country académique 2018

Cross-Country académique 2018, une nouvelle réussite de l’UNSS Auvergne

UNSS

Ce mercredi 12 décembre, avait lieu le traditionnel Cross-Country académique 2018 organisé par l’UNSS Auvergne, à l’étang Philippe, en plein cœur de Saint-Gervais d’Auvergne.

L’UNSS Auvergne, un exemple d’organisation 

Ce Cross-Country académique 2018 fut une véritable réussite avec notamment une première au niveau national, une course spécifique Sport Partagé mélangeant des jeunes en situation de handicap et des jeunes valides. Évènement unique également, ce Cross-Country Académique a permis de voir en ouverture, une course de Cani-cross et de chiens de traîneaux.

Niveau organisation, l’UNSS Auvergne a pu compter sur le Lycée Professionnel Agricole des Combrailles de St Gervais d’Auvergne qui avait mobilisé pour l’occasion, 50 jeunes lycéens en charge de la préparation, de l’accueil, de l’organisation générale, des goûters…et la communauté éducative regroupées autour de Jean-Philippe Dumas, professeur d’EPS.

Un Cross-Country académique 2018, entre record et formation

Après le record de participation obtenu par le département du Puy-de-Dôme avec plus de 2000 jeunes aux cross départementaux, ce cross-country académique a, à son tour, remporté un franc succès, avec plus de 1800 compétiteurs présents autour de l’étang Philippe de Saint-Gervais d’Auvergne.

Ce cross académique revêtait également un enjeu particulier, puisque rentrant en compte dans la qualification aux championnats de France qui auront lieu le 26 janvier 2019, à Bordeaux.

Grâce à cet évènement, un groupe de jeunes reporters de l’UNSS ont pu continuer leur formation sur le terrain, avec l’appui de l’agence de communication KINIC.  Pour la seconde année consécutive l’agence de communication clermontoise a permis durant l’année scolaire, à un groupe de jeunes, de se former au métier de journalisme sportif.

Durant cette formation, plusieurs programmes sont enseignés autour de la rédaction de communiqués de presse et d’articles, de la communication sur les réseaux sociaux, de l’art de bien prendre des photos, de l’utilisation d’une caméra ou encore de la réalisation d’interviews dans le cadre d’un reportage vidéo. Prochaine étape pour ces jeunes reporters, participer au Championnat de France de Football féminin qui aura lieu en mars 2019 à Vichy, en couvrant l’évènement.

Cross-Country Académique, le soutien de partenaires majeurs

Cet événement a ainsi bénéficié des partenariats de la Mairie de St Gervais d’Auvergne, du club local de VTT, de l’agence de communication Kinic et de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Soutiens majeurs, ses partenaires donnent un coup de pouce aux jeunes en leur permettant de pratiquer le sport au sein de leurs établissements et en aidant à la mise en avant des talents de demain.

Cross-Country académique 2018, l’intégralité des classements

Découvrez dès maintenant l’intégralité des classements dans les différentes catégories.

RESULTATS EQUIPE BENJAMINS MIXTE
RESULTATS INDIVIDUEL BENJAMINS GARÇONS
RESULTATS INDIVIDUEL BENJAMINS FILLES
RESULTATS EQUIPE LYCEES MIXTE
RESULTATS INDIVIDUEL CADETS JUNIORS SENIORS GARÇONS
RESULTATS INDIVIDUEL MINIMES FILLES
RESULTATS INDIVIDUEL CADETTES JUNIORS SENIORS FILLES
RESULTAT SPORT PARTAGE CROSS ACADEMIQUE 2018
RESULTATS EQUIPE MINIMES MIXTE
BENJAMINS MIXTE
RESULTATS EQUIPE LYCEE PROFESSIONNEL MIXTE
RESULTATS INDINDIVIDUEL MINIMES GARÇONS

 


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2ème édition réussie pour « Le Hand fait son show »

Handball, Institutions sportives, Ligue d'Auvergne de Handball

Quel succès ! A l’occasion de sa seconde édition, « Le Hand fait son show » a tenu toutes ses promesses. Organisée par la ligue Auvergne-Rhône-Alpes de Handball, cette manifestation s’est déroulée mercredi 2 mai place de Jaude, à Clermont-Ferrand. Avec plus de 700 joueurs, cette journée avait pour principal objectif de promouvoir le handball.

“Le Hand fait son show” : les enfants à l’honneur

Le hand a fait son show ! Il a envahi la place emblématique de Clermont-Ferrand pour offrir une journée sous le soleil et dans la bonne humeur. Durant une partie de la journée, des écoles primaires et des collèges ont pu s’initier à la pratique du handball.

Dans le cadre de la promotion du handball, la ligue Auvergne-Rhône Alpes a souhaité organiser une journée spéciale à destination des scolaires, mais également à tous ceux souhaitant découvrir le handball. Par ailleurs, gratuite et ouverte à tous, cette journée a permis au public de découvrir les multiples facettes de ce sport, grâce notamment à des animations toujours plus ludiques les unes que les autres. Matchs, tirs au trampoline ou encore découverte du hand fauteuil… Tout était réuni pour passer une journée formidable.

L’Euro féminin de handball en ligne de mire

Pour sa deuxième édition, « Le Hand fait son show » souhaitait une nouvelle fois faire la promotion du handball sur la région. « Le but est de faire parler du handball, montrer les différents types de pratiques et bien évidemment d’attirer du public », s’exclame Ludovic Dain, responsable évènementiel à la ligue Auvergne-Rhône-Alpes de handball.

De plus, cette journée servait également de support afin de présenter l’Euro féminin 2018 qui aura lieu en France du 29 novembre au 16 décembre. Organisée par la fédération française de handball, cette compétition regroupera les meilleures équipes féminines d’Europe.

Véritable réussite, cette journée de découverte du handball aura permis au public de s’initier au petit ballon rond. En effet, l’occasion était unique pour créer un véritable lien avec les clermontois, et de prouver qu’en Auvergne, on n’était pas uniquement adeptes du ballon ovale.

 


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Community managers de Ligue 1

Community managers de Ligue 1 : les nouveaux piliers de la communication sportive ?

Foot, Gestion de club, Institutions sportives

A quelques mois du début de la Coupe du Monde 2018 qui aura lieu en Russie, les clubs de football ont énormément à gagner à profiter de l’enthousiasme médiatique engendré par cet évènement. En France, les clubs de Ligue 1 utilisent un style de plus en plus décalé sur les réseaux sociaux, qui connaissent une véritable explosion.

Bien entendu, la performance sportive a toujours une grande importance au sein d’un club. Cependant, avec le développement des réseaux sociaux, et notamment Twitter, les comptes officiels des clubs de Ligue 1 cherchent à se démarquer grâce notamment au travail acharné d’un community manager. En effet, celui-ci doit être capable de maîtriser l’ensemble des réseaux sociaux, mais il doit également mener une stratégie de communication efficace.

Par le passé, les clubs de Ligue 1 se devaient de respecter certains codes de communication… Aujourd’hui, tout cela est terminé ! Beaucoup de community managers de clubs de Ligue 1 optent pour l’humour comme stratégie. Alors oui, cette stratégie bouscule les codes de communication conservateurs de la sphère footballistique. Désormais, place aux nouveaux community managers !

Comment fonctionne un club de Ligue 1 ?

Dans un premier temps, il faut savoir que la grande majorité des clubs de Ligue 1 dispose d’un service communication et d’un service marketing. Au sein de ces services, on retrouve différentes missions récurrentes comme la relation presse, le développement web, le service vidéo… et le community management.

La proximité avec les supporters, le défi de parler au plus grand nombre, les valeurs du club à véhiculer… Toutes ces missions sont celles du community manager du club !

Le community manager ou CM est l’individu en charge du développement et de la gestion de la présence du club sur les réseaux sociaux et autres espaces communautaires contrôlés ou non par le club. Au-delà de l’aspect sportif, il a pour principale mission que les supporters du club passent une agréable soirée, que le résultat soit positif ou négatif.

Communiquer comme une entreprise !

Que l’on soit un club de foot, un grand groupe, ou une start-up, l’objectif reste le même : promouvoir une marque ! Cependant, communiquer pour un club de football reste différent dans la mesure où si une parole est mal interprétée, elle peut prendre des proportions gigantesques. Les paroles et les actes sont amplifiés, notamment par les journalistes. Les community managers doivent donc veiller à ne pas franchir certaines limites, malgré le ton humoristique. Ainsi, les community managers doivent être en mesure de gérer toutes les crises possibles. Pour cela, ils doivent être capables de calmer le jeu, et de résoudre le problème en question.

Toucher un maximum de personnes !

C’est la base de tout club de foot… Le supporter ultra, le père de famille, l’adolescent, le retraité abonné… Vous devez tous les satisfaire ! Le community manager fait face à un défi de taille. En effet, il est compliqué de mettre en place une stratégie de communication qui touchera à coup sûr tous ces publics.

En France, certains clubs de Ligue 1 ne prennent aucun risque, et misent sur une stratégie de communication globale. Ils communiquent sur des thèmes communs, en espérant de toucher un maximum d’internautes. Mais ces clubs sont obligatoirement confrontés à quelques limites lorsqu’il s’agit de faire un choix pour la musique d’entrée des joueurs sur la pelouse par exemple. Quel type de musique employer ? Plutôt une musique à la mode, ou bien une musique populaire dans les années 80 ?

Ce choix de stratégie peut s’avérer dangereux car en essayant de satisfaire le plus grand nombre, vous risquerez d’avoir une communication trop terne.

Mettre en avant les joueurs du club !

La plupart des joueurs de football adorent le contact avec le public ! En effets, ils aiment pouvoir échanger, signer des autographes, et voir à quel point ils sont appréciés. Certes, certains joueurs du championnat comme Neymar peuvent donner l’impression d’être des superstars, inaccessibles… Mais sachez que les joueurs de football sont des gens normaux, et que malgré l’importance de l’argent, ils seront prêts à aller au contact du public.

En tant que community manager, vous devez saisir cette opportunité, et mettre en avant vos joueurs. Sur les réseaux sociaux, n’hésitez-pas à partir à la rencontre de certains cadres du vestiaire. Le public adore ces moment-là, et puis ce sont toujours des images assez sympas. Les joueurs sont vos alliés, profitez de leur statut pour dynamiser l’image de votre club !

 


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orange e-ligue 1

Orange e-ligue 1 : Les premiers pas de Rokh E-sport

E-sport, FIFA

L’E-sport ou sport électronique se démocratise de plus en plus. Emissions TV, radio et retransmissions en direct sont dédiées à ce phénomène. Et notamment à l’Orange e-ligue 1.

La Orange e-ligue 1 un championnat reconnu

Aujourd’hui en France un jeu a su se démarquer et s’implanter dans le domaine e-sportif, FIFA.  BEIN qui consacre déjà une chaîne au E-sport s’investit encore plus avec la programmation d’une émission dédiée à la Orange E-ligue 1, véritable équivalent de la Ligue 1 Conforama. Cette dernière est animée par Bruce Grannec et Brak, deux grands de FIFA.  L’émission attire une bonne audience et véhicule une image professionnelle de l’E-sport. Au programme on retrouve tout ce qui fait le succès d’une émission de football classique, des debriefs de matchs, débats autour du mercato… Mais ce qui fait avant tout le charme de l’émission c’est le fait que certaines phases finales se jouent directement sur le plateau. Une émission à suivre pour tous les fans de football et de FIFA.

Si vous voulez en apprendre plus sur le fonctionnement de la Orange E-ligue 1 je vous invite à cliquer ici.

Rokh E-sport en Orange e-ligue 1 !

Aujourd’hui pourquoi parlons-nous de cette compétition ?

L’équipe Rokh E-sport, en partenariat avec la société Kinic fait ses premiers pas sur la pelouse de la Orange e-ligue 1. Le joueur de la structure e-sportive auvergnate, Enzo Ropert alias Enzhaut (évoluant sur Xbox-one) va participer à la finale de la Orange e-ligue 1 à Montpellier, ce qui n’est pas rien !

Retrouvez l’interview écrite exclusive réalisée par Street N’ Sports de Enzo Ropert en cliquant ici.

Le jeune joueur fera face à “Samylumiine” le samedi 3 mars au stade de l’Orange e-ligue sous les couleurs de Montpellier. Vous pourrez retrouver une rediffusion du match un mois plus tard sur BEIN sport dans l’émission dont nous avons parlé précédemment.

L’équipe Kinic souhaite bonne chance à Enzo Ropert pour son match.

Kinic accompagne les structures Esportives

Vous souhaitez faire connaitre votre structure Esport, communiquer autour de celle-ci. La société Kinic vous accompagne dans vos projets. Notre équipe peut se charger de la création de votre site web. Mais également de la gestion de vos réseaux sociaux ainsi que de la réalisation de vos visuels,…

Alors n’hésitez plus et contactez nous, Kinic est l’une des rares société de communication en France à promouvoir les projets et les équipes d’E-sport.

 


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