Pour ce quatrième épisode de Kinic Sport, le podcast, nous recevons Orlane Rebot, responsable partenariat au Paris Volley. Le Paris volley est un club mythique parisien qui évolue en 1ere division. Son palmarès est impressionnant : 18 Titres de champions de France, 3 Supercoupes de France, 3 coupes d’Europe, 5 Coupes de France et 1 League des Champions.
Découvrez l’interview d’Orlane Rebot
KINIC SPORT : Bonjour Orlane Rebot.
ORLANE REBOT : Bonjour.
KINIC SPORT : Ma première question déjà, c’est de vous présenter, vous personnellement, et quel est votre parcours professionnel pour en être arrivé là ?
ORLANE REBOT : Alors donc, Orlane Rebot, j’ai 25 ans. Je suis arrivé au Paris Volley en tant que chargée des partenariats fin Août 2020. Je suis sortie d’études l’année dernière en 2020. J’ai fait 3 ans en Bachelor marketing au sein d’une école de commerce tout en alternance et le master en communication aussi en alternance. Donc, j’ai fait 3 boites différentes. Et ensuite, j’ai intégré le Paris Volley fin Aout parce que je souhaitais absolument intégrer un club de sport. Après, sur Paris ou pas, ce n’était pas forcément une décision qui m’importait vraiment mais ça s’est fait sur paris et sachant que je suis de la région parisienne, c’était un plus. Ensuite, je suis passionnée de Volley aussi donc le Paris Volley c’était vraiment ce qu’il me fallait. En tant que chargé de partenariats, c’est un poste qui me plait énormément et qui me correspond particulièrement par rapport à ma personnalité notamment.
KINIC SPORT : Merci pour cette présentation. Maintenant, est-ce que vous pouvez nous présenter votre club, le Paris Volley ?
ORLANE REBOT : Oui, donc, le Volley Paris c’est un club de Volley-ball de première division en Pro A. Il y a eu des difficultés financières il y a deux ans et le club est redescendu en Pro B. Et il a finalement été racheté et il est remonté en Pro A. C’est un club qui a un historique très important de par le nombre de victoires, qui a aussi gagné la ligue des champions en 2001 et qui a l’image de la capitale donc voilà.
KINIC SPORT : Alors quelles sont vos missions principales notamment en termes de sponsoring et de partenariat au sein du Paris Volley ?
ORLANE REBOT : Alors, mes missions principales, c’est déjà la fidélisation des partenaires que l’on a actuellement, donc la mise en place des actions au sein du club donc notamment toute la partie business club donc les évènements sportifs qu’on organise avec les partenaires, ça peut être aussi les rencontres des partenaires entre eux justement pour qu’ils puissent être amenés à faire du business ensemble, voilà, trouver de nouveaux clients, etc. Donc c’est vraiment la mise en place d’actions autour des partenaires, mais aussi l’acquisition de nouveaux partenaires, donc réfléchir à des actions que l’on peut mettre en place et réfléchir aussi à des cibles qui pourraient être intéressantes pour les partenaires, enfin pour les entreprises en général, et pour le Paris Volley aussi, d’avoir ces nouveaux partenaires. Donc partie fidélisation et partie acquisition de nouveaux partenaires.
KINIC SPORT : Alors, comment se passe la relation avec vos partenaires, chez vous au Paris Volley ? Est-ce vous qui les démarchez ou l’inverse, et petite question, que représente la part des partenaires dans votre club ?
ORLANE REBOT : Alors, il y a des demandes internes, enfin il y a des demandes surtout entrantes notamment, mais il y a aussi des demandes sortantes. Il y a évidemment de la prospection mais il y a aussi quelques entreprises qui nous voient sur nos réseaux sociaux notamment ou en fonction de ce que l’on met en place comme actions et qui viennent directement vers nous pour savoir comment c’est possible de devenir partenaire et quelles sont les conditions. Et en fait, en fonction des entreprises, elles sont différentes, car certaines recherchent tout simplement de la visibilité, d’autres recherchent voilà de la notoriété etc. et d’autres recherchent le fait de passer des bons moments pendant un match, accueillir leurs clients dans l’espace VIP, voilà, c’est très différent en fonction de chacune des entreprises. Il y a des demandes entrantes et des demandes sortantes aussi donc toute une partie prospection.
C’est quoi la deuxième question ?
KINIC SPORT : C’était, est-ce que le partenariat mécénat représente une part significative dans le budget de votre club ?
ORLANE REBOT : Alors, en termes de chiffres exacts, je ne les aurais pas du tout, mais je pense que c’est à peu près 10%, on va dire 10% des recettes totales du club correspondent au sponsoring, en moyenne à peu près.
KINIC SPORT : D’accord.
ORLANE REBOT : Après, ça dépend, parce qu’on a vraiment des partenaires majeurs aussi comme la ville de Paris ou Franprix qui ont un énorme budget par rapport à notre club. Donc là en l’occurrence, ça augmente aussi la part des recettes.
KINIC SPORT : Merci pour cette réponse donc je pense que c’est à peu près le pourcentage global des clubs. Alors, avez-vous un profil de sponsors spécifiques, je vais un petit peu approfondir la question, est-ce que quand vous faites notamment cette prospection, vous vous dites que ce type de sponsors peut s’intéresser au volley, que vous ayez entendu par exemple que le dirigeant était plus ou moins intéressé par le volley ou alors par exemple c’est un partenaire qui aura fait une communication nationale par exemple autour de l’Equipe de France, donc vous vous dites qu’il serait peut-être potentiellement intéressé pour vous suivre ? Donc voilà, la question c’est, est-ce que vous avez un profil de sponsor spécifique, et si oui lequel ?
ORLANE REBOT : Alors non, on n’a pas un profil de sponsors spécifique, dans la mesure où toutes les entreprises peuvent être intéressées pour obtenir de la visibilité par exemple grâce aux matchs, ils peuvent aussi rechercher de la notoriété mais aussi discuter et faire des rencontres avec d’autres partenaires qui sont au sein du business club et dans le but justement, par exemple … on va dire notre partenaire Novelty, il cherche à vendre des prestations sur, par exemple des évènements, parce que eux, ils s’occupent de toute l’image et du fond pendant les matchs, bah par exemple, eux, ils vont être amenés à proposer ça. Autre exemple, Duval Leroy, c’est aussi un de nos partenaires, qui propose des évènements aussi sur du champagne, etc. Donc vraiment, c’est tout type d’entreprise qui peut être intéressée pour devenir partenaire du Paris Volley pour justement proposer ses services au sein du business club, pour répondre aux besoins des autres partenaires. Donc, on n’a pas de profil type. Maintenant oui, les entreprises qui sont plus intéressées par le volley, ça les intéressera davantage de devenir partenaire du Paris Volley, mais voilà ce n’est pas tout, ce n’est pas parce qu’une entreprise n’aime pas forcément le volley, qu’elle ne sera pas intéressée pour nous rejoindre. Est-ce que ça répond bien à votre question ?
KINIC SPORT : Oui, oui, c’est parfait, c’est exactement ça. Comment communiquez-vous avec vos partenaires et notamment on parle d’impact digital, pour vous, qu’est-ce que l’avènement du web et des réseaux sociaux notamment a changé ? Vous en parliez un petit peu tout à l’heure justement, que certains partenaires vous avez vu sur les réseaux sociaux donc ça va dans les deux sens, est-ce qu’une partie des partenaires vous voient sur les réseaux sociaux, vous avez en partie répondu, mais est-ce que vous aussi vous offrez de la visibilité à vos partenaires via ce type de support ?
ORLANE REBOT : Oui absolument. En fait, on offre de la visibilité sur LinkedIn notamment, ça c’est vraiment le réseau social que l’on utilise le plus pour donner de la visibilité à nos partenaires et après aussi sur les réseaux tels que Instagram, Facebook et Twitter mais selon un autre modèle, c’est-à-dire qu’en fonction des photos que l’on fait pendant les matchs par exemple sur les leds on verra les logos de nos partenaires. Après, les réseaux sociaux, on essaie vraiment d’être sur LinkedIn. Et pour communiquer entre nous dans un espace privé, on utilise aussi l’application Teams qui nous permet d’échanger sur les évènements que l’on met en place donc on a un groupe entre nous, donc les partenaires et Paris Volley qui permet de dire si nous on a des évènements, on va dire, tel jour, on organise un « pétanque barbecue » pour les partenaires pour nous retrouver, tel jour il y a ce match et à telle heure, et on vous attend, qui sera présent, etc. Donc c’est vraiment un outil de communication important pour nous, que l’on utilise beaucoup. Donc voilà, surtout Teams, LinkedIn et après les réseaux sociaux tels que Instagram, Facebook, Twitter, mais d’une autre façon.
KINIC SPORT : J’ai vraiment l’impression que vous avez un relationnel privilégié avec vos partenaires. Est-ce que c’est quelque chose qui s’est fait naturellement ou alors que vous avez développé ?
ORLANE REBOT : Alors en fait, c’est justement un de nos critères différenciant, c’est qu’on a une proximité avec nos partenaires qui est très importante. En fait, on se tutoie tous, on est presque amis entre guillemets. C’est-à-dire que tout se fait en totale transparence. En fait, on a développé au fur et à mesure, parce que justement, quand le club a été racheté, enfin quand le club est reparti… l’idée du club à ce moment-là, c’était la renaissance capitale, donc justement de remettre le club sur pattes et donc, on avait pratiquement aucuns partenaires au début, on les a acquis au fur et à mesure et l’idée justement c’était d’avoir une proximité avec les partenaires qui est intéressante pour eux comme pour nous. Donc voilà, d’être toujours présent pour eux, de répondre à leurs besoins et puis surtout voilà, de passer de bons moments et qu’ils soient heureux de passer des moments avec nous. Donc, c’est vraiment le partage et l’émotion qui priment.
KINIC SPORT : Donc la convivialité, qu’elle soit en physique, et plutôt en ce moment digitale avec ce groupe WhatsApp.
ORLANE REBOT : Exactement oui, tout à fait oui, Teams, et WhatsApp aussi un peu moins mais oui tout à fait. La convivialité, c’est le mot oui, c’est le mot exact.
KINIC SPORT : Alors comment vendez-vous votre club durant la crise sanitaire que l’on connait ? Comment faites-vous et comment vous adaptez vous à cette situation ?
ORLANE REBOT : Alors, on s’adapte dans la mesure où bah déjà là, on essaie vraiment de fidéliser les partenaires que l’on a actuellement pour qu’ils puissent continuer de rester avec nous et qu’ils soient là aussi les saisons prochaines en mettant en place des actions comme par exemple des webinaires chaque semaine. Par exemple, tel partenaire a envie de parler de son entreprise, bah on va réunir tous les partenaires, et ce partenaire-là, cette entreprise-là va expliquer donc de quoi il s’agit, qu’est-ce qu’elle propose comme bien ou service et discuter autour de ça. Donc ça, c’était à peu près une fois par semaine et là, on a un peu réduit parce que bon bah évidemment tous le monde commence un petit peu à se lasser forcément voilà c’est compliqué. Et après aussi, on faisait un speed dating chaque semaine aussi, dans l’idée, c’est de faire des salles, des salles entre guillemets des salles de classe virtuelles en mettant 3 ou 4 partenaires ensemble pour qu’ils discutent de ce qu’ils proposent et est-ce que ce serait intéressant pour eux, voilà, de faire du business ensemble ou pas. Bon, ça peut arriver que ça ne fonctionne pas totalement même, discuter et partager des sujets ensemble, dans l’idée de passer un bon moment et de discuter, de faire du relationnel et peut-être même du business à long terme, ou à court terme. Donc ça, ce sont les types d’actions que l’on met en place. Et après, on prépare aussi donc le déconfinement, donc on prépare quelques surprises, je ne vais peut-être pas en dire plus là-dessus parce que c’est une surprise, mais voilà donc on garde quand même le contact avec eux malgré le contexte.
KINIC SPORT : Alors justement, on va sortir un petit peu de cette crise, et on va dire qu’elle est passée ou qu’elle va passer de toute façon. On va dire en temps normal, comment est-ce que vous prenez en compte où vous analysez l’impact d’une action avec un sponsor ? Qu’est-ce que vous faites et concrètement quels sont les leviers que vous avez en lien avec le partenaire pour mesurer un peu le retour sur investissement d’une action de sponsoring que vous mettez en place j’imagine en commun avec le partenaire ?
ORLANE REBOT : Bah généralement, ils nous font toujours des retours sur les actions que l’on met en place donc ils nous disent à chaque fois ah bah, c’était super, on a appris énormément de choses, j’ai fait de superbes belles rencontres. Le sponsoring, c’est vraiment quelque chose d’important que finalement les partenaires nous aident à faire vivre le club donc c’est très important pour nous, pour le club et pour les partenaires aussi parce qu’ils font de belles rencontres et ils sont aussi vecteurs d’une bonne image qui est celle du Paris Volley c’est-à-dire une image classe, qui représente la capitale avec un bel historique comme je vous le disais tout à l’heure avec la Ligue des Champions, on l’a gagné en 2001, donc voilà, ça, c’est vraiment un vecteur important que les partenaires… c’est vraiment fondamental d’avoir des partenaires pour l’image du club et pour faire vivre le club. C’est exactement ça que vous souhaitiez avoir comme réponse ?
Oui, oui, parfait. Et du coup au niveau de l’activation des partenariats, il y a l’activation côté visibilité et il y a aussi côté relations publiques, ça c’est… comment vous le décidez, c’est en lien avec le partenaire ? C’est vous ? Est-ce que vous êtes force de proposition par rapport à toutes ces choses-là ?
ORLANE REBOT : Comment ça, par exemple, c’est-à-dire ?
KINIC SPORT : Et bien, par rapport à l’activation d’un partenariat, de mettre en place des actions, je ne sais pas moi par exemple distribution de flyers ou autres, comment vous activez, comment vous faites le partenariat avec le partenaire, est-ce que c’est vous qui êtes force de proposition ? Ou est-ce que c’est plutôt le partenaire qui a des demandes, ou les deux tout simplement ?
ORLANE REBOT : Ce sont les deux en général vraiment bah nous on leur propose un premier programme par exemple comme je vous le disais tout à l’heure une visibilité panneaux leds, une visibilité réseaux sociaux, on a aussi accès au business club, places VIP, places sèches etc. donc tout ça, s’est déterminé en amont, ce qu’on leur propose. Après, on développe aussi chaque mois, on fait une action solidaire au sein du Paris Volley. Donc, ça peut être au niveau par exemple, le Noël solidaire qu’on a fait avec le Secours Populaire, un partenaire va nous dire bah moi ça m’intéresserait de participer à cette action, et donc dans ce cas-là, on va mettre en place ce qu’il faut pour qu’il puisse être amené à participer à cette action comme il le souhaite. Et après, nous on propose des choses aussi en fonction des partenaires. Par exemple, partenaire Ecole qui est un petit peu un partenaire particulier qu’on a développé justement cette année il y a très peu de temps. Donc l’idée, c’est de former les étudiants généralement en école de commerce ou, enfin ça dépend, il y a un large panel. Donc là, c’est former les étudiants sur les métiers du sport, sur de la communication, du journalisme, enfin tout ce qui tourne autour de l’évènementiel et l’organisation d’un match de première division de sport, enfin de volley même. Donc là, en l’occurrence, on leur propose aussi même un programme spécifique par rapport à ça mais certains vont nous dire ah bah moi le côté RSE, c’est vraiment ce qui m’importe pour mes étudiants donc je préférerais mettre la main là-dessus, ça c’est vraiment ce qui m’intéresse le plus et peut-être pas faire partie du business par exemple. Donc à ce moment-là, on voit ensemble ce qu’on peut faire, et on s’adapte vraiment à la demande du partenaire et en fonction de ses besoins aussi.
KINIC SPORT : D’accord donc du sur mesure quasiment pour les partenaires en tout cas.
ORLANE REBOT : Oui, quasiment. Alors après, il y a toujours les grandes lignes de la visibilité et du business club évidemment mais, oui, oui, on s’adapte.
KINIC SPORT : Alors en sortie de crise sanitaire, encore une fois on va sortir de la crise, quels sont vos objectifs pour le Paris Volley en termes de sponsoring à moyen terme on va dire ?
ORLANE REBOT : A moyen terme, bah, toujours garder les partenaires que l’on a actuellement, continuer à passer de bons moments avec eux, et leur faire passer aussi de bons moments riches en émotion grâce aux matchs, aux rencontres, voilà. Mais aussi, acquérir de nouveaux, de nouvelles entreprises au sein du business club justement, de l’alimenter et qu’ils puissent faire des rencontres et développer aussi le business de nos partenaires donc à court terme comme à long terme, c’est voilà, garder les partenaires que l’on a actuellement, mais aussi acquérir de nouveaux partenaires. Mais on a vraiment, c’est surtout un énorme…comment dire, un énorme point sur la partie RSE qui est la partie développement durable donc tout ce qu’il y a à faire sur le développement durable est en train d’être énormément développé au sein du Paris Volley, notamment avec la création du mouvement Match for Green, créé par le directeur général Arnaud Gandais donc Match for Green consiste en fait à rendre tous les clubs sportifs en France éco responsables par l’intermédiaire de 68 heures de formation, d’un audit du club, d’un accès à la plateforme etc. donc voilà, c’est vraiment ça, prendre aussi pas mal de place au sein du club, mais aussi différencier, Match for Green et Paris Volley mais bon après, il reste quand même toute la partie RSE qui est très importante au sein du club.
KINIC SPORT : Alors, la dernière question maintenant. Donc Paris, enfin on va dire l’Ile de France, c’est une grande zone économique, la première de France mais c’est également là où il y a beaucoup d’autres clubs professionnels et de haut niveau. Alors justement, bah, comment faites-vous face à cette concurrence et quelles sont vos relations, si vous en avez, avec les autres clubs de la capitale ?
ORLANE REBOT : Alors, sur les clubs de première division en Volley, on est les seuls, donc c’est l’avantage qu’on a. Après voilà, par rapport aux clubs du type Paris Saint Germain, type Racing 92 ou Stade Français etc. Bah en fait, on a l’avantage d’être un sport, enfin l’avantage entre guillemets, d’être un sport peu médiatisé, et qui reste finalement un sport encore mineur donc même s’il y a énormément de licenciés, ça ne va pas être un sport dont on va beaucoup parler et finalement on va garder toutes les personnes qui s’intéressent au volley, ce sont des personnes fidèles, donc on sait qu’on ne les perdra pas par rapport à ça, c’est vrai que c’est important pour nous, et c’est la différence.
KINIC SPORT : C’est un sport et un club qui restent accessibles c’est ça en fait, par rapport aux autres sports qui sont plus…
ORLANE REBOT : Exactement, alors en termes notamment de billetterie, c’est sûr que ce ne sont pas les prix d’un club de première division de foot par exemple, enfin voilà c’est vraiment…enfin les prix sont complètement différents, ça va être 12€ pour l’entrée pour une place classique, par exemple pour les partenaires, ça va être la même chose. Une place VIP ou une place en loge, ça ne va pas être la même chose du tout qu’un club comme… voilà je reviens toujours sur le foot parce que ce sont toujours les prix les plus grands quoi…
KINIC SPORT : Elevés oui.
ORLANE REBOT : Importants, élevés voilà merci. Donc voilà, oui, effectivement pour être partenaire aussi du Paris Volley, il n’y a pas besoin de dépenser des centaines de millions d’euros alors que ça reste un club qui a une très très bonne image et donc classe, et qui représente la capitale notamment et avec une très belle histoire.
KINIC SPORT : D’accord. Et bien merci Orlane REBOT d’avoir accepté de répondre à nos questions.
ORLANE REBOT : Avec plaisir.
KINIC SPORT : Et on vous souhaite une bonne continuation du côté du Paris Volley en Ligue A masculine de Volley, merci.
ORLANE REBOT : Merci beaucoup.
Retrouvez le podcast de l’interview dès maintenant
NSCRIVEZ-VOUS A NOTRE NEWLETTER
[mc4wp_form id=”9174″]
Allan Kinic est le fondateur de l'agence Kinic. Expert en communication et marketing sportif, il anime régulièrement des formations et des conférences sur le sujet. Il accompagne les clubs, ligues et fédérations depuis de nombreuses années.